Un hôtel en rez-de-nature
Les chambres et suites posées sur ce site majestueux, dans une architecture à l’inspiration vernaculaire, offrent un dépaysement total.
Des chambres et des suites en vue
Les 13 chambres, dont 2 suites et une junior suite, à l’architecture intérieure signée Jérôme Saysset, s’inscrivent dans le principe de découverte et s’affirment comme des cadrages sur le paysage. La plupart en rez-de-nature et toutes avec une vue à couper le souffle. Les chambres sont ouvertes sur l’extérieur grâce à de larges baies. Ces chambres tantôt voisinent avec le ciel, tantôt s’imprègnent du jardin et des grands espaces alentours. L’évasion est permanente. Depuis ce lieu magique, l’Aubrac se met en scène pour le plaisir de tous nos sens.


L’évocation du buron et de la draille
Les chambres s’inscrivent dans le prolongement du reste du bâtiment pour ne constituer qu’une seule et même architecture. On retrouve ici, à travers la pierre, l’évocation du buron, ce refuge pastoral minéral. Plus loin, le sentier de pierres bordé de buissons, qui mène aux chambres de l’hôtel et pointe au loin le clocher de Laguiole, est appelé la draille, le nom de ces pistes qui jalonnent le plateau et permettent aux troupeaux d’atteindre les pâturages pendant la transhumance.
Un jardin sur un plateau
Les bâtisses du Suquet abritent des vents un incroyable jardin, dans lequel la nature a pu s’exprimer, guidée par des femmes et des hommes soucieux d’un juste équilibre. Ici une trame de vivaces, là des graminées, des fleurs des champs. Elles entourent le Suquet de leurs couleurs, de leurs odeurs, et dominent de larges estives. Elles sont aménagées pour instaurer une communion parfaite avec le parfum des fleurs, le chant des oiseaux…
